Alors que les licenciements se multiplient, la colère grandit contre la politique du gouvernement et du MEDEF.
Public, privé, salariés dont les emplois sont menacés, secteurs en lutte comme l'université et l'éducation, la santé, la Poste ou EDF-GDF, nous serons tous et toutes dans la rue le 1er Mai, comme lors des mobilisations précédentes les 29 janvier et 19 mars.Omar Slaouti, tête de liste du NPA aux élections européennes, sera présent dans le cortège parisien.
Le message doit être clair : nous ne paierons pas leur crise. Nous le porterons dans la rue vendredi 1er mai, dans la campagne et dans les urnes lors des élections européennes du 7 juin. Alors que le grand patronat prend en otage des milliers de salariés, menacés par les licenciements, il est plus que temps de séquestrer les profits !Omar Slaouti participera aussi, le matin du 1er Mai, au rassemblement organisé à 11h Pont du Carrousel (Paris 1er) à la mémoire de Brahim Bouarram, assassiné par des racistes le 1er mai 1995, et de toutes les victimes du racisme. Avec la crise du capitalisme, contre toute récupération xénophobe et raciste, il faut plus que jamais le rappeler : ne nous trompons pas de cible. Les responsables ne sont pas ceux qui travaillent et combattent à nos côtés, les immigrés, mais ceux d’en haut : le gouvernement et le MEDEF !
Le 29 avril 2009.