Chaîne d'une vingtaine de magasins bio implantés à Paris et dans sa plus proche couronne, les Nouveaux Robinson semblent être dans les limbes, mais la situation est tout sauf pacifique pour les salariéEs. Aux antipodes des engagements et promesses faites aux salariéEs et aux clientEs dans les statuts qui régissent la coopérative, le directoire met en place un océan de diverses méthodes managériales qui envoient les salariéEs aux galères, tout en continuant la communication mensongère sur l'« éthique » de l'enseigne (entreprise sociale respectueuse, gestion démocratique, partage équitable des bénéfices, etc.). L'Anticapitaliste a rencontré Boris Volle, syndicaliste à la CGT et salarié chez Les Nouveaux Robinson.