Un nouvel appel unitaire était lancé ce 5 /12 par la LDH21, Amnesty international Dijon, SOS Racisme, ATTAC, la CGT , la FSU , La France Insoumise, le PS de Dijon, le PCF de Côte-d'Or, le NPA ou encore Génération.s. Solidaires localement s'est retiré. Un appel concurrent de divers groupes de Bourgogne, Franche comté et Rhone-Alpes a été suivi par des Gilets Jaunes du Jura, du Doubs, à l'arrache une convergence a eu lieu sur place.
Dès le rassemblement, 1.000 à Dijon pendant les prises de parole :
Une seule intervention avait été imposée par des composantes de l'appel ce qui a empêché l'expression pluraliste , notamment pour exiger le retrait pur et simple de la loi, mais des propos à l'arrache se sont ajoutés, sur la Constitution, contre les masques, anti-pédocriminalité, anti-dictature. Néanmoins il a été souligné que l'article 24 revu c’est pour mieux l’inclure dans l’article 25 de la loi sur le séparatisme et que restent les articles 21 et 22 qui visent à la surveillance de masse. Ont été aussi condamnées les violences policières qui ont eu lieu le 28 novembre au niveau national et à Dijon le 24 novembre.
Un cortège qui gonfle jusqu'à 2000 au long du parcours
Parti-e-s à 1500 , avec en tête la banderole commune et des représentant-e-s des organisations appelantes, le cortège a du suivre le parcours imposé, la préfecture ayant interdit le centre ville.Même si la manifestation a été disparate, avec des mots d'ordre sur l'école à domicile, sur le rejet du masque et de mesures sanitaires « dictatoriales », partagée entre « Une seule solution, la Révolution » et «Macron on est là » et en dépit d'un survol par drone, nous étions 2000 à la fin du parcours avec des slogans «Sécurité globale, on n'en veut pas !». Ensuite, 200 à 300 manifestants se sont heurtés aux barrages, 8 interpellations ont été annoncées/,
Même avec une participation extérieure, c'est une manifestation réussie au triple de la semaine passée.