Emprisonné depuis 24 ans, Jean Marc Rouillan devait bénéficier d'un régime de semi-liberté le 7 mars prochain.
Mais le parquet de Paris a fait appel de la décision, faisant preuve d'un rare acharnement judiciaire.
Rappelons qu'une précédente décision de justice tout à fait inique avait mis fin en novembre 2007 à une première mesure de semi-liberté, effectuée à Marseille, à cause d'un interview donné à l'Express dans lequel, assumant son passé, il "refusait de cracher sur tout ce qu'il avait fait".
Ce chantage permanent au reniement et à la repentance, que l'on exige d'aucun autre condamné, est proprement scandaleux.
Jean Marc Rouillan, adhérent de notre parti depuis sa fondation, doit être libéré au plus vite !