Poussée par Macron, l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a finalement autorisé le 7 mai le chargement partiel du cœur de l’EPR de Flamanville pour des phases de tests et d’essais qui vont s’étaler sur six mois. Il n’en fallait pas plus aux médias complaisants pour s’extasier sur cette « bonne nouvelle », oubliant que dès 2019, le gouvernement avait dû avouer que l’EPR était un « échec pour la filière ». Mais aujourd’hui, au nom d’un prétendu « renouveau du nucléaire », il s’entête à vouloir construire 14 autres EPR en France et imposer cette énergie partout en Europe. Le point par la Commission nationale écologie.