Le tribunal de grande instance de Montpellier (Héraut) vient de donner entièrement raison aux associations de défense de l’environnement (Adep et Clivem), qui avaient engagé, une « veille environnementale » autour de Palavas-les-Flots en contestant divers projets municipaux, notamment au regard de la loi Littoral.
Selon le jugement, elles n’ont « ni menti ni travesti des éléments de faits » comme le soutenaient un promoteur immobilier et le maire de Palavas, qui avaient assigné les associations pour abus de leur droit d’agir en justice.
Les étangs, reconnus comme « zone humide d’importance internationale », sont désormais engagés dans une démarche « Natura 2000 ».
Après dix ans de procédures, l’attaque très violente des promoteurs est donc stoppée.