Des anciens qui réapparaissent, des têtes nouvelles, des lycéenEs, des étudiantEs, des salariéEs plutôt précaires... Malgré l’orage, nous étions un peu plus de 25 mardi 27 juin à échanger avec Philippe sur les luttes sociales, la défense de migrantEs lycéenNEs menacéEs d’expulsion, la construction d’un collectif sur l’université…
C’est de cette convergence plus que des élections qu’il a été question, face aux ordonnances Macron, à l’état d’urgence permanent, à la chasse aux migrantEs et contre les grands projets inutiles avec une aspiration commune : ne pas attendre pour agir et fédérer les luttes.
Durant deux heures, une vingtaine d’interventions ont porté, au-delà de l’unité pour résister, sur le sens du travail, sur une autre société. De façon diffuse pointait le souci d’organiser la contre-offensive. Philippe a souligné à plusieurs reprises la nécessité d’une organisation anticapitaliste, dont le NPA se veut un des porteurs, au moment où les partis traditionnels se délitent.
Plusieurs contacts nouveaux ont été pris lors du pot final où les échanges se sont prolongés.