La grève générale a commencé hier au Portugal.Malgré les conditions très dures, la censure par les médias, les "services minimums" imposés par le gouvernement, l'intervention de la police contre des piquets de grève, le mouvement paralyse le pays en particulier dans les transports.
Comme lors des deux dernières grèves, de nombreux précaires participent à des piquets de grève.
C'est l'ensemble du monde du travail qui se regroupe pour refuser l'austérité, refuser de payer pour sauver les profits des banques et des gros actionnaires.
Philippe Poutou exprime sa pleine solidarité avec les travailleurs portugais. Leur combat est le nôtre.
Il soutient le rassemblement de solidarité qui a lieu cet après-midi à 18h devant l'ambassade du Portugal, rue de Noisiel, Paris 16ème.
Le 22 mars 2012.