Un collectif très varié de par les personnes participantes et les appartenances diverses a redoublé d’ardeur pour des rassemblements à Sant Nazer.
Depuis la manif féministe du 7 mars, nous étions toutes et tous confinéEs. Le 1er mai, on bouge enfin. La copine secrétaire CGT a réalisé son show de son balcon, la chorale des guerrières de l’ouest l’a relayée en bas dans la rue de la République et a rejoint le rassemblement au marché (rouvert grâce à notre pétition). Nous n’étions pas nombreux/ses – une cinquantaine – mais divers : Front social, CGT, NPA, Attac, Génération.s, amies de May (anarchistes), Covid entraid, Gilets Jaunes de la Maison du Peuple, anars, jeunes… Et ce n’était qu’un début.
Le 11 mai à 19h, un rassemblement de 200 personnes à l’hôpital s’est terminé par l’applaudissement pour le personnel des urgences sortis au-devant de la manif.
Le samedi 16, 200 personnes ont subi les provocations policières d’une cinquantaine de « forces de l’ordre » chargées d’interdire le rassemblement. Et qui ont fièrement annoncé avoir donné 50 PV.
Le NPA et la LDH ont dénoncé le déploiement policier.
Le 23, il y a eu un nouveau rassemblement pour la liberté de manifester, ainsi que le 30.
Mardi 2 juin, en solidarité avec les victimes des violences policières aux USA et en France, le rassemblement coloré et actif d’une soixantaine de jeunes et moins jeunes devant le tribunal a fait le tour du centre-ville jusqu’au commissariat central.
L’appel pour le 16 à l’hosto devrait permettre de se retrouver dans l’unité.
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