Mardi 17 février, nous étions 25 lors de la réunion publique avec Alain Krivine : des jeunes, des camarades du Doubs et de Saône-et-Loire, des membres du PCF, de LO et d’Attac. Le quotidien local, le Bien public, ainsi que France-bleu ont interviewé notre camarade.
Trois questions ont dominé : les obstacles prévisibles après la victoire électorale de Syriza, Podemos, et la France. En Europe, les situations sont différentes : avec la crise du capitalisme, les populismes se renforcent alors que la Grèce et l’Espagne font figure d’exception. Les politiques d’austérité sauvage y ont entraîné des mouvements de masse d’ampleur et une gauche radicale émerge.
Alors que la Grèce est confrontée à une véritable épreuve de force avec l’Union européenne, la suite du débat a porté sur les moyens d’une solidarité plus large que les manifestations du 15 février. Il y a l’espoir que le peuple grec réussisse des premières mobilisations victorieuses et donne l’exemple, mais aussi la crainte d’Aube dorée en cas de reflux... L’idée d’un collectif local de soutien au peuple grec, ainsi que l’échéance de la manifestation du 18 mars à Francfort devant la Banque centrale européenne ont été abordées. Les présentEs sont repartis motivés.