Le NPA 54 Sud a organisé sa première fête anticapitaliste samedi 5 juin. Elle a commencé dès 15 heures, avec la projection du film Fumel : de feu, de fer et de rock, exemple d’autogestion ouvrière. Pendant ce temps, certains camarades ont manifesté à la Marche régionale des fiertés à Metz, où nous avons pu scander nos slogans spécifiques de luttes contre l’homophobie. Puis nous sommes revenus à Nancy pour un meeting militant. Un camarade a exposé les actions de la Coordination révoltée des invisibles solidaires et enragés (Crise) qui s’amplifient autour de la grève des chômeurs et précaires. Puis Galia Trépère, représentant le comité exécutif du NPA, a évoqué les actes terroristes de l’État israélien envers le peuple palestinien et le mouvement international de solidarité. Après avoir expliqué les mécanismes de la crise financière qui sévit en Europe et frappe les travailleurs, Galia nous a encouragés à poursuivre nos luttes, notamment dans le collectif retraites. Un riche débat nous a ensuite permis de confronter nos différents points de vue, notamment en présence de camarades de Lutte ouvrière et de la Gauche alternative (Fase). Nous avons partagé un apéro militant, avec la participation de notre chorale préférée, celle des Sans-noms, qui a entonné nos chants révolutionnaires favoris, avant de partager un repas convivial. Près de 150 personnes nous ont rendu visite au cours de cette journée, dont des nouveaux contacts. La première fête, mais pas la dernière, à Nancy, assurément !