À l’initiative d’un collectif de Louviers, une centaine de personnes, de différentes organisations (CCFD, RESF, CEFED, LDH, PCF, NPA, enseignantEs, citoyenEs) se sont retrouvées le 14 mars devant la préfecture d’Evreux. L’occasion de dénoncer la situation inhumaine vécue par les familles de migrantEs, des mineurEs isolés, ballotés d’un hébergement précaire à un autre, dans l’angoisse de l’expulsion. Le moment aussi pour exiger l’application de la loi de réquisition des logements vides et un règlement politique de la situation. Une délégation a été reçue, mais aucun résultat : le préfet applique les consignes et rien d’autre. Le collectif déterminé prévoit d’autres actions.