Une première réunion s’est tenue le 26 janvier avec la LDH, la FCPE, le PG, le NPA, et d’autres associations de moindre force. L’organisation d’une réunion publique départementale, mais également la création d’un collectif départemental de vigilance et de solidarité à l’égard des victimes éventuelles de l’état d’urgence, l’impulsion de collectifs locaux… ont été évoqués. Parallèlement, une manifestation locale a été organisée à Vitry le 6 février. Les discussions se sont aussi poursuivies au sein des diverses organisations ouvrières du 94. Une nouvelle réunion visant à constituer un réel collectif départemental est donc convoquée pour le 11. La CGT devrait y avoir une place centrale, le PCF et la FSU départementale devraient suivre. Si, comme nous l’espérons, cette réunion est un succès, nous proposerons que soient organisés des meetings unitaires anti-guerre, en défense des libertés publiques, dans deux localités du département.