A Grenoble, Échirolles et sur le campus, plusieurs initiatives vont avoir lieu cette semaine... Jeudi 28, réunion publique à la fac « pour la levée de l’état d’urgence » à l’appel de Alternative libertaire, LO, l’UEC, le NPA jeunes, Sud éducation et Solidaires étudiants. Le lendemain, « 6 heures pour la paix, la fraternité et contre les amalgames » organisées par la CGT, la FSU, Solidaires, l’Unef et l’UNL, une quinzaine d’associations locales ou nationales, EELV, Ensemble, le NPA, le PCF, le PG, le PRCF, le PCOF. Même si ces 6 heures, préparées pour débattre et faire la fête ne sont pas clairement liées à l’état d’urgence, les différentes introductions – de la secrétaire de l’UD CGT, d’une militante de l’AFPS, d’un militant kurde, d’un jeune de l’ association de quartier « Vie et Partage » – permettront aussi de faire le point sur la situation politique créée notamment par l’état d’urgence. Et le 30 janvier, en centre ville, comme dans beaucoup de villes, il y aura une manifestation appelée par de nombreuses associations, syndicats et partis.