Le tribunal de Strasbourg a reconnu le 18 février qu'il n'y avait aucune preuve démontrant que Tonio, militant du NPA, avait commis des actes de violence à l'encontre d'un vigile, celui-ci n’ayant entre autres pas présenté de certificat médical.
Encore une affaire « perdue » par Fontanel après celle de la vitrine brisée où là aussi un camarade du NPA a été relaxé sans parler de son cuisant échec aux municipales. Pour Fontanel, adepte du foot, le score est de 2 à 0 en faveur du NPA. Affaire « perdue » car ce sont bien ses sbires et sa milice privée qui ont provoqué la bagarre le soir de la présentation de ses vœux à la halle du marché de Neudorf le 30 janvier 2020.
Encore une fois, la justice a rétabli les militants dans leurs droits et balayé les arguments de l’accusation montés par la police et le procureur. Oui il s’agissait encore, n’en déplaise à ce dernier, d’un procès politique car comment expliquer que lui seul Tonio, militant reconnu, a fait l’objet de poursuites et que les nombreuses plaintes des camarades violentés ont été classées sans suite malgré les certificats médicaux.
Merci à notre avocate Florence Dole pour sa compétence et son soutien. Espérons que le procureur ne fera pas appel de la décision dans les 10 jours.
Le NPA 67 tient à remercier les camarades, les ami-es, les associations, les syndicats, les organisations politiques, pour leurs nombreux messages de soutien et de leur solidarité à notre camarade. La solidarité est pour notre classe une arme formidable, utilisons-la !