Depuis fin décembre, une dynamique s’est réellement enclenchée sur la recherche des parrainages...
Les militantEs du NPA sont de plus en plus nombreux à partir sur les routes ; la bataille démocratique est aussi devenu plus visible médiatiquement, grâce à la tribune parue dans le Monde et Mediapart et la pétition #2017PoutouDoitEnEtre. En région parisienne, nous en sommes à une vingtaine de tournées par semaine.
Nous venons de dépasser les 200 promesses de parrainages. Malgré l’effort important, les maires attendent bien souvent la fin de la primaire du PS pour nous donner une réponse définitive. Ce qui montre que tout se jouera les deux derniers mois, voire pendant le mois de reconversion.
Une bataille à gagner
Nous ne devons rien lâcher ! Si Poutou n’y est pas, personne ne sera là pour porter nos idées. En plus d’être l’unique candidat ouvrier, il est le seul à défendre un salaire garanti tout au long de la vie à hauteur de 1 700 euros nets minimum, pour la rupture unilatérale avec les traités européens, pour une autre Europe des travailleurs et des peuples, pour la sortie de l’Otan et opposé à tous les impérialismes, pour la liberté totale de circulation et d’installation, l’ouverture des frontières, contre l’islamophobie, pour le boycott d’Israël, solidaire des peuples kurdes et syriens, pour la sortie du nucléaire en 10 ans, pour l’extension du droit à l’avortement, pour le désarmement de la police...
Contrairement à beaucoup à d’autres, notre candidature est une bataille, mais nous pouvons la gagner. Pour cela, il n’y a pas de raccourcis : partir sur les routes le plus souvent possible, faire signer la pétition, discuter de notre campagne... Ce n’est pas seulement une bataille démocratique, car aller voir les éluEs des petites communes, c’est aussi faire de la politique, là même où les politiques des gouvernements successifs ont fait le plus de ravages…
L’équipe « parrainages » du NPA