Publié le Jeudi 17 novembre 2016 à 23h48.

Souscription : Donner et attendre en retour...

Faire un don au NPA, c’est nous permettre de continuer de lutter au mieux contre les capitalistes qui veulent nous faire payer leur crise économique et écologique en nous divisant sur des bases ethniques, religieuses, nationales, culturelles, générationnelles, sexuelles, professionnelles, en faisant reculer tous nos acquis et droits sociaux, sans parler des libertés démocratiques fondamentales...

C’est nous permettre d’intervenir dans tous les champs thématiques et sectoriels de la lutte de classes. Le NPA se bat aux côtés de tous les exploitéEs. Ces luttes, elles sont peut-être les vôtres, chaque jour, dans votre travail, votre entourage, votre association, votre syndicat... Nous défendons le même camp social, sans pour autant militer dans la même organisation. Nous soutenir, c’est une pierre de plus dans le combat.

Faire un don au NPA, c’est profiter d’une niche fiscale !

Eh oui, certaines ne sont pas réservées qu’aux riches. Pour 100 euros donnés, 66 vous seront remboursés en septembre 2017 sous forme d’exonération d’impôt sur le revenu. Alors oui, il faut les avancer... Mais ils reviendront ! Merci mon Trésor public. On appelle cela les « contradictions au sein de l’État bourgeois »...

Faire un don au NPA, c’est éviter l’austérité à un parti qui la refuse pour l’entière société...

Cette année encore, les dons représenteront 20 à 25 % du budget de notre parti pour l’année prochaine ! Elle est donc vitale, ni plus ni moins. Ce n’est pas une fourchette haute destinée à récolter plus que le minimum vital. Elle est ce minimum vital ! En dessous, c’est l’austérité militante : moins de déplacements en France et à l’étranger pour les militantEs et les porte-parole, moins de tracts et d’affiches, moins de permanentEs (le NPA en a déjà très peu pour un parti de plusieurs milliers de membres), une presse en danger, etc.

Faire un don au NPA, ce n’est pas adhérer au NPA...

Ce n’est pas devenir militantE du NPA. C’est considérer que notre parti tient une place et articule un discours nécessaire dans le champ social et politique. C’est considérer que notre action est indispensable pour favoriser, relayer, populariser, organiser les luttes de toutes celles et ceux qui refusent la société capitaliste, mais aussi proposer un projet, un programme, une perspective politique. Ce n’est pas considérer que le NPA est à lui seul la réponse, mais qu’il est une composante de l’équation sociale et politique actuelle.

Sylvain Madison