
La condamnation de Marine Le Pen le 31 mars à quatre ans de prison, dont deux avec sursis, à une peine d’inéligibilité de cinq ans avec exécution provisoire et à 200 000 euros d’amende a donné lieu à des positionnements très différents sur le rapport du mouvement ouvrier à l’État de droit et à la défense de la justice. Nous avons, avec d’autres organisations, appelé à se rassembler à Paris le 6 avril, contre le meeting organisé le même jour par le RN. L’occasion de revenir sur notre analyse de « l’État de droit ». Le point par Sulalat.