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Après que Darmanin a inventé le concept d’écoterrorime, et à quelques jours de la mobilisation contre les mégabassines le 25 mars, l’État a de nouveau montré que sa seule réponse est la répression.
Julien Le Guet, porte-parole du collectif « Bassines Non Merci », a été déféré devant le procureur à Niort le 17 mars à l’issue de son placement en garde à vue le matin même, pour sa participation à la manifestation de Sainte-Soline en octobre dernier. Une mesure d’intimidation qui, en ces temps de colère sociale, ne saurait nous empêcher de manifester !