Lundi 26 janvier, date de l’examen du projet Macron à l’Assemblée nationale, le CLIC-P sera de nouveau dans la rue.
Cette nouvelle mobilisation, avec appel à la grève et à la manifestation, rejointe, pour le moment, par la CGT au niveau régional et par Solidaires au niveau national, s’inscrit bien dans une riposte globale contre cette loi.Cette journée sera précédée par une diffusion aux entrées du personnel des grands magasins parisiens, le 20 janvier à partir de midi, de la carte postale à adresser à Hollande pour lui rafraîchir la mémoire (cf. l’Anticapitaliste n°269). Cette même carte commence aussi à fonctionner en régions.
Macron c’est non !D’ici le 10 février, jour probable du vote de la loi, d’autres actions sont envisagées comme une manifestation dans une gare, ces dernières étant visées par le projet d’ouverture dominicale, ainsi qu’un meeting.Des associations féministes et de jeunesse rejoignent le collectif de mobilisation composé de syndicats et d’organisations politiques, dont le NPA, et commencent à se faire entendre. Il est clair que les femmes et les étudiantEs, obligés de travailler pour payer leurs études (ce qui ne les rendra certainement pas milliardaires), seront les premières victimes de cette loi.Ces racistes, ces fauteurs de guerres, nous ne marchons pas dans leur unité nationale. Contre le projet Macron, une seule ligne de démarcation, celle de classe.
LD