Vendredi 10 février, 150 personnes sont venues pour discuter des revendications nécessaires pour rompre avec le capitalisme qui nous asphyxie un peu plus chaque jour. Loin des magouilles financières de la droite et de l’extrême droite, loin des discours incantatoires nous demandant de faire confiance à l’unE ou à l’autre, nous avons débattu de ce qui est urgent d’exiger pour touTEs celles et ceux qui travaillent, sont privés d’emploi, jeunes, retraitéEs, ainsi que de la nécessaire solidarité. Philippe Poutou est d’ailleurs venu plusieurs fois à Calais manifester son soutien aux migrantEs.
Dans cette élection présidentielle, nous avons besoin d’un porte-voix, mais c’est par de grandes mobilisations que nous pourrons arracher le partage du travail, l’égalité entre touTEs, l’arrêt de l’état d’urgence et des violences policières… Nous avons déjà prévu d’autres réunions publiques pour en discuter : la prochaine portera sur les revendications écologiques et la lutte contre le nucléaire organisée avec nos voisins belges.