Mercredi 1er février, notre candidat a présenté son programme devant un amphithéâtre rempli : 280 personnes. Principalement des jeunes, curieux de découvrir (ou redécouvrir) le discours que nous portons.Une occasion de s’adresser à une jeunesse qui à travers la mobilisation « contre la loi travail et son monde » a exprimé son ras-le-bol : celui d’une société qui n’offre pas d’avenir. Chômage, conditions de travail toujours plus précaires, éducation sacrifiée… le tableau d’une société malade du capitalisme. Il est temps pour nous de relever la tête et construire la riposte. Face à la corruption et aux différents scandales (comme le « Pénélopegate ») qui en disent long de la « démocratie » dans laquelle nous vivons, notre réponse est claire : nous représenter et nous diriger nous-mêmes. Dénoncer une société dans laquelle quelques milliardaires possèdent 80 % des richesses planétaires, répondre à l’urgence sociale.Une première échéance dans la jeunesse qui en appelle d’autres afin de faire entendre une autre candidature, anticapitaliste et révolutionnaire.
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