Contrairement à la postérité symbolique de la date du Congrès de Tours de 1920 dans l’imaginaire des militants politiques et syndicaux, les débats politiques et stratégiques qui l’ont constitué restent relativement absents de notre formation historique et méconnus au sein de l’extrême gauche (en dehors du Parti communiste évidemment plus familier de cet héritage). C’est pourtant un moment capital où de nombreux débats ont lieu dans le contexte de la vague révolutionnaire qui a suivi la Première Guerre mondiale.
NB : Ce dossier est une « version courte » de celui que nous avons publié dans notre revue l’Anticapitaliste mensuel de décembre… et une incitation à le lire !