
Depuis l’annexion de la Nouvelle-Calédonie en 1853, le peuple kanak n’a cessé de lutter contre les effets de la colonisation : spoliations, violences, marginalisation démographique et sociale. Si l’accord de Nouméa en 1998 a ouvert une voie vers la souveraineté, les blocages politiques et les choix stratégiques de l’État français remettent en cause ce processus. Macron a adopté la vision des anti-indépendantistes d’une recolonisation. Dossier réalisé par la commission Kanaky du NPA-A