L’impact des transports sur le réchauffement climatique et l’environnement, sur la santé et sur le vivant, dont les humains font partie, impose d’en limiter fortement le volume. Pourtant, une partie des transports est nécessaire à l’activité humaine. Au-delà du développement des mobilités douces (vélo, marche) nous avons besoin d’une nouvelle politique et organisation des transports qui permette d’imaginer d’autres moyens de déplacement, choisis pour leur efficacité et leur faible nocivité envers ce qui nous entoure. Partir de l’existant en faisant le bilan de la casse du service public du rail, comprendre les impacts des transports sur l’environnement, établir des priorités, proposer des solutions, voilà l’objet de ce dossier.
Dossier coordonné par la Commission nationale écologie