Vendredi 4 mars au soir, la gendarmerie d’Annemasse est informée de la fugue de deux adolescentes de 15 et 16 ans. L’une aurait déjà été « suivie » pour « radicalisation » et avait été hospitalisée pour « dépression de l’adolescence ». L’autre jeune fille n’aurait fait que se laisser entraîner dans…